Trouver du plaisir à faire du Triathlon

Non, ce n'est pas un sport extrême, ni un pari fou.
Bien sûr, il faut s’entraîner, se muscler, connaître la stratégie de course, mais quel plaisir de terminer son premier Tri et ……..les suivants.
En plus, ce sport se déroule en extérieur, souvent avec de beaux paysages.
C'est une discipline qui intéresse de plus en plus les médias et les sponsors. Ce sport a une très belle image.
Pour participer à un triathlon il faut un bonnet, des lunettes de natation, un vélo et des chaussures et de l'entraînement.

Trois épreuves qui s’enchaînent, la natation, le vélo et la course à pied et à chaque changement d'épreuve les transitions (changement de tenue et de matériel) qui font partie du Chrono.
La natation se déroule en eau vive ou en mer. Nager avec et contre les éléments, avec et contre les autres concurrents. les courants, le vent, les marées et le plaisir de sortir de l'eau, une fois tout affronté avec le meilleur temps possible.

La transition, là aussi c'est un plaisir, se changer le plus vite et le plus efficacement possible.  Et oui, on s’entraîne dans le jardin ou le salon, à enlever la combinaison au plus vite, à mettre ses chaussures en grimpant sur le vélo. 

Le vélo, une épreuve individuelle, donc pas de draft (pas d'aspiration pour doubler), tout se fait à la force des mollets. Bien gérer, les montées, les faux plats, les virages, les trajectoires, l'équilibre sur le vélo, les conditions climatiques, c'est du pilotage. Il faut aussi gérer la nutrition, le temps, le cardio, le capteur de force ( puissance sur les pédales). Oui on ne s'ennuie pas sur le vélo, il y a pleins de données électroniques que l'on gère en roulant.
​Et peut être que vous ne me croirez pas, mais, il y a les paysages.
Et oui, souvent les triathlons se déroulent dans de superbes endroits, cela fait de très belles photos des coureurs

La course à pied …….. l'ivresse du public qui crie et qui encourage. Mais là encore, il faut gérer sa foulée, son cardio, la nutrition et la lucidité. La fatigue se ressent et la tête fait avancer les jambes. Et là encore, les yeux regardent les paysages, les gens, les photographes et aussi ceux que l'on aime qui vous encouragent sur le bord de la route. Quand on franchit l'arche de l'arrivée, pleins d'émotions se mêlent et on devient un Finisher…

Bon le lendemain, oui les quelques courbatures sont là, mais aussi les images de la course qui reviennent, ce que l'on aurait pu faire mieux ou différemment pour ……...le prochain triathlon.

Faire un Ironman, avec des distances beaucoup plus importantes  c'est la même chose avec …..;un peu plus de courbatures le lendemain Lol.